1918
à l’armistice
Après avoir frôlés la défaite en mars 1918, les alliés, sous le commandement de Foch, général en chef des armées, remportent des succès sans précédent et acculent les Allemands à déposer les armes.
Après avoir frôlés la défaite en mars 1918, les alliés, sous le commandement de Foch, général en chef des armées, remportent des succès sans précédent et acculent les Allemands à déposer les armes.
Février 1918, la Russie est terrassée et les Allemands vont pouvoir alors exploiter, et leur supériorité numérique, et de nouvelles techniques de combats combinant troupes d’assaut et artillerie...
Français et Anglais, épuisés en vaines offensives, intensifient la production de camions, de canons, de chars et d’avions et résistent in extremis aux trois offensives allemandes du printemps. Foch a été nommé à la tête des armées alliées, mais c’est l’application de la directive n° 4 de Pétain, tactique défensive originale, qui met en échec les Allemands en juin et juillet 1918.
Dès la mi-juillet Foch, aidé par l’arrivée des Américains, lance des offensives frontales qui obligent les Allemands, minés par le blocus maritime, à la retraite... En septembre, depuis Salonique, Franchet d’Espèrey ébranle définitivement l’alliance des puissances centrales...
Le quatrième tome de cette fresque historique nous guide vers la fin des combats qui semble enfin proche.