
Un chef-d’œuvre de la littérature du XXe siècle qui nous entraîne dans le tourbillon d’une humanité profondément bouleversée.
Eugenio Corti écrit ici le grand roman de la passion des hommes, le long cheminement spirituel qui conduit au triomphe du bien sur le mal, non ici-bas, mais dans la lumière éternelle de Dieu.

Le deuxième tome de l'œuvre magistrale d'Eugenio Corti.
Avec un réel souci de vérité et une surprenante liberté d'esprit, l'auteur lance un défi à la culture dominante et, contre toute attente, l'emporte. Le Cheval rouge marquera à jamais l'histoire littéraire du XXe siècle.

Dans la « longue Saga des Joyaux et des Anneaux » que sont le Silmarillon et le Seigneur des Anneaux, La Chute de Gondolin, retrace, pour l'essentiel ce voyage qu'entreprend un Homme, Tuor, avec son compagnon Voronwë, afin de trouver la Cité Cachée des Elfes à Gondolin.

Édition de Christopher Tolkien
Un très beau travail éditorial qui éclaire singulièrement le monde fabuleux de J.R.R. Tolkien. Contes et Légendes inachevés s’intègre dans ce vaste imaginaire qui du Silmarillion nous conduit au Seigneur des Anneaux.

Première grande synthèse artistique de l’écrivain après ses années de Sibérie Crime et Châtiment offre au lecteur une plus grande élévation morale et religieuse. Avec une grande originalité Dostoïevski, transforme la relation d’un crime en une profonde analyse de l’âme et du cœur humain.

D’une puissance fascinante, il est indéniable que Crime et Châtiment constitue un moment décisif dans l’évolution artistique et personnelle de Dostoïevski.

« Nous sommes dans l’univers de l’orgueil démoniaque qui ne souffre pas qu’il y ait un Dieu […] De l’idée aussi que l’homme pourrait davantage, le jour où son horizon serait débarrassé du spectre divin… »

Puissant et fascinant, Les Démons constitue un sommet dans l’œuvre du grand romancier. Au-delà du pamphlet contre le nihilisme, le lecteur découvre l’homme livré à lui-même, cherchant, en vain, sa liberté…

« Son idée ne le délivre pas, mais le dévore ». Sa divinité le ronge. « Il se produit un choc, dit le Journal d’un écrivain, entre les deux idées les plus opposées au monde : l’Homme-Dieu a rencontré le dieu-homme »…

Dostoïevski nous livre ici un roman complexe aux innombrables personnages, dont les quatre principaux, se révèlent rapidement dans un affrontement fulgurant, presque déséquilibré, entre l’amour-passion ou l’amour-possession et l’amour-compassion, amour don de soi.

À la fois autocritique et justification et initialement intitulé Roulettenbourg, Le Joueur est sans doute l’un des plus vivants, des plus brillants et des plus amusants textes courts de Dostoïevski.

Situé dans le roman sentimental, on ne peut qu’être frappé par la dimension polémique des Nuits blanches. La critique de l’époque met en valeur la réussite de Dostoïevski dans ce roman.

Un nouveau Gogol est né ! C’est ainsi que la critique de l’époque reçoit le premier roman de F. Dostoïevski.
Ainsi s’ouvre de nouveaux mystères sur la vie et les caractères de la Russie.

Premier grand roman postsibérien, Humiliés et offensés tente pour la première fois d’utiliser la forme du roman social français et anglais. Démonstration de la faiblesse de l’humanisme sentimental, on trouve dans Humiliés et offensés les premières ébauches qui annoncent L’Idiot et Crime et Châtiment.

Parut en 1864, le projet des Les Carnets du sous-sol remonte à la fin de l’année 1862.
J’ai voulu présenter au public, avec un peu plus de force que de coutume, un de ces caractères qui appartiennent à un passé récent. Cet homme est le représentant d’une génération en survie.

Les épisodes s’accumulent et s’enchevêtrent, laissant couler le récit à la manière d’un fleuve jusqu’au moment de la débâcle.
À coup sûr on ne peut rester indifférent devant la profondeur d’un tel récit qui place, sans contredit, son auteur parmi les plus puissants de toute la littérature moderne.

L’éveil de Mademoiselle Prim
Le rêve d’un cœur pur plongé dans l’espérance d’un monde meilleur…
Porte du Ciel, Étoile du matin…

Un récit biblique aux enseignements profonds.

...Je n’ai pas perdu mon temps. J’ai appris à bien connaître, sinon la Russie, du moins le peuple russe, comme peut-être peu le connaissent. (F. Dostoïevski)
Éloge de la lenteur et du goût pour l’inutile, Voyage avec un âne dans les Cévennes nous invite « à voir le monde comme une bohème non pas vraiment raffinée, mais glorifiée et pacifiée ».

1917 : La révolution ébranle la Sainte Russie au plus profond de ses traditions. Epargné par la tourmente, le moine Grégoire veut sauver son peuple et lui apporter la lumière du paradis...

Dans les structures cachées du chaos se livre une dernière bataille… M. O’Brien nous plonge au cœur de la « Révélation » où se dresse la croix témoin de l’ultime victoire de la lumière !
Existe aussi en grand format

Un beau récit où le silence du monde s’harmonise avec le cœur pur.

Une aventure aux multiples visages, où, sans cesse, la sagesse et l’espérance sont confrontées à un monde en déclin.

Le texte intégral d’une œuvre unique et sans équivalent.
Véritable « poème sacré », forêt de symboles dans une architecture éblouissante, qui décrit « l’homme en marche vers la perfection, vers la divinité. »

Comme toujours avec M. O’ Brien, le personnage principal est fort attachant : Ethan, dans la solitude de son phare, organise son quotidien au gré des saisons et des petits évènements. Peu à peu, la réalité d’une autre solitude va se dévoiler…

À l’homme « aux mains de bagnard qui manie la plume comme une épée », la France rend un hommage de fidélité.
Géant du XXe siècle, A. Soljénitsyne demeure, par son œuvre littéraire et son témoignage de résistant, un rempart inébranlable face aux idéologies totalitaires qui détruisent notre monde.

La fin d’une longue chronique familiale. Au prise avec un monde impitoyable jusqu’à la cruauté, l’homme n’échappe pas à cette transcendance qui jette une lueur sur des ressources spirituelles encore vivaces.

Dans un récit d’une rare densité, où le tragique se mêle à la poésie, l’auteur des Enfants Jéromine retrace le long cheminent du baron Amédée broyé par quatre années de camp.
Véritable chef-d’œuvre qui s’apparente à une vaste « liturgie » où l’homme intérieur, tour à tour prêtre et victime, se dispose à recevoir le sourire de Dieu.