Philosophie-Essais
Pièce maîtresse de l’œuvre du grand polémiste anglais qui part à la recherche d’une éthique humaine, d’une humble vérité qui nous serve à mieux vivre, Hérétiques redresse avec un enthousiasme quelque peu mordant les gens qui pensent de travers.
Les aventures extraordinaires de G. K. Chesterton à la poursuite de l’évidence, voilà Orthodoxie.
[…] Je n’ai réussi qu’à inventer par mes propres moyens une copie inférieure des traditions existantes de la religion civilisée... Je m’ingéniai à trouver une hérésie originale et, j’ai découvert que c’était l’orthodoxie.
Face à un athéisme destructeur de l’homme, l’auteur entrevoit un « nouveau Moyen Âge » afin que l’homme se replace dans l’orbite du Dieu créateur et provident !
En philosophe chrétien, G. Thibon nous éclaire d’une sagesse qui demeure éternelle, pour tenter de rejoindre l’homme qui, plus que jamais, s’éloigne du simple bon sens.
Entre divagation intellectuelle et passions au service du moi, il devient urgent de retrouver Celui qui nous a fait à son image et sa ressemblance.
Avec force et sincérité, Gustave Thibon s’attaque à la décadence moderne : pourrissement, non seulement de la nature humaine, mais de la place de Dieu dans l’homme.
Entre le croyant en Dieu et le voyant de l’absence de Dieu, l’homme est souvent confronté, à la limite du désespoir, au pire des illusions.
Seul la lumière d’une humble espérance peut nous rendre digne de l’infini : L’homme attend Dieu dans le temps et Dieu attend l’homme dans l’éternité.
Un excellent travail sur l’œuvre du grand philosophe chrétien où bon sens et sagesse chrétienne, équilibre et harmonie nous conduisent à ce silence de Dieu attentif au cri de l’homme !
La décadence moderne : c’est la décadence d’un monde chrétien. La décadence antique était franche ; mais le cadavre de notre civilisation est fardé de tous les attributs divins : justice, amour, vérité...
Un médecin psychiatre et un philosophe chrétien tentent de nous conduire à la source du bonheur. Sujet tragique, magnifique. Attente universelle de quelque chose, de quelqu’un ?...
« Nous devons être avant tout les hommes de l’éternel, des hommes qui renouvellent ce qu’il y avait de meilleur dans le passé. »
Un ouvrage qui pose de solides fondements pour une activité intellectuelle saine et digne de l’homme.
Messagers du divin et de l’éternel, les hommes de génie sont rarement de vrais témoins. Et pourtant, dans cette mise en examen — qui nous rend présent le grand philosophe, Gustave Thibon fait rayonner sur nos ténèbres une aurore d’éternité.
Une porte ouverte sur la connaissance et le bonheur, école de sagesse et de vertu, trop souvent occultée par la philosophie athéiste.
Une synthèse excellente et très abordable.
Sortir de la servitude de l’imagination sans tomber dans la fatalité, c’est découvrir un terrain stratégique ou la lutte est sans merci.
Un ouvrage où le « roi du paradoxe » nous invite à puiser à la source pour trouver la vérité qui est au fond.
Un texte aux résonances si modernes publié en 1516 ! Dans cet éloge paradoxal de l’humanisme, Thomas More nous invite à regarder l’Ancien Monde d’un œil neuf.
Toute l’inquiétude du philosophe de Saint-Marcel-d’Ardèche, face à l’apprentissage de la mort et de l’éternité.
À travers les dires du Dieu-amour, face à l’impitoyable déroulement de la nécessité des jeux ténébreux, brille, au loin, l’étoile de la Vérité où « le masque tombera du visage de l’homme et le voile du visage de Dieu »
La troisième édition d’un livre exceptionnel.
Des pages, qui avec grande lucidité, analysent cette étrange maladie de l’homme contemporain, qui provoque une infection mortelle à la jointure même de l’âme et du corps.
En homme qui n’a pas de peine à se sentir dépassé, G. Thibon se fait proche de l’homme, par la vérité et non par la nouveauté. Par le silence de Dieu et non par le dernier cri à la mode.
Entre ciel et terre, le célèbre philosophe tente de rapprocher l’humain de l’harmonie divine.
Dans un monde où tout devient « performance », il est urgent de revenir aux liens invisibles, à la vie de l’esprit, là où un être « un » est conçu au-dessus des matériaux qui le composent.
Il faut à l’homme du XXIe siècle réapprendre à vivre dans le temps qui dure et donner sens et profondeur à sa vie. Pierre de Villiers propose ici de revenir au simple bon sens et fait, pour cela, appel aux valeurs essentielles des « hommes debout » !
Entre la raison qui comprend la vérité et la foi qui la découvre l’homme, créature de Dieu, trouve sa véritable et profonde unité.
Cinq convertis nous montrent cette harmonie indispensable tant battue en brèche.
« L’Église est seule sur terre à affirmer que Dieu lui-même est tenu par la raison. » (G.K. Chesterton)
Le « procès » en règle d’une modernité qui dilapide son héritage !
Dans une analyse profonde et pertinente — non dénuée de bon sens, Rémi Brague dans une vision équilibrée de la nature se fait, une fois de plus, le défenseur de l’humain dans sa quête pour le Vrai.
Ce qui est simplement nécessaire à l’homme dépasse de très loin la simple satisfaction de ses besoins. Il ne suffit pas que le corps soit à l’abri : l’âme aussi a ses droits.
Dans un monde où tout devient « performance », il est urgent de revenir aux liens invisibles, à la vie de l’esprit, là où un être « un » est conçu au-dessus des matériaux qui le composent.
Avec un regard résolument chrétien, les principales qualités liées à l’autorité trouvent ici leur fondement en se rattachant à leur origine divine.
Oblat bénédictin, l’auteur s’est laissé façonner à l’école du service du Seigneur afin de faire de ses hommes les chevaliers du XXIe siècle !
Sur le Grand théâtre du monde : on joue la vérité, on joue avec la vérité ; on n’est pas, on ne fait pas la vérité. L’acteur élimine l’auteur…
« Thibon était un maître au vrai sens du mot […] une page de Thibon remet le lecteur en face de lui-même, de la Création et du Créateur. Il n’est pas exagéré de dire que sa pensée domine son siècle et constitue pour les générations qui viennent, un véritable trésor. »