Ref. LEB5052
Karl Leisner : Victor in vinculis
Séminariste allemand affronté aux Nazis, Karl Leisner est amené à dénoncer l’imposture du nazisme. Si bien qu’il suivra son Maître, le Christ, sur le chemin de la passion.
Epuisé
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Description
Séminariste allemand trop catholique aux yeux des Nazis, Karl Leisner est déporté à Dachau où il sera ordonné prêtre clandestinement par un évêque français lui-même déporté. Il ne célébrera qu’une seule messe avant de mourir, mais son sacerdoce n’a pas fini de rayonner sur la jeunesse.
Pour tous à partir de 10 ans.
Sommaire
Informations techniques
Référence
LEB5052
Pagination
48
Dimensions
22,5 x 30,5
Poids (kg)
0.39
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Préface
C’est comme une petite lumière qui commence à briller au cours d’une nuit tragique, une nuit d’orage, pleine de bruit et de fureur. Au milieu des éclairs, personne ne la voit ; elle passe inaperçue. Mais elle continue de briller. Et lorsque les orages s’apaisent, sa clarté commence à intriguer celles et ceux qui l’aperçoivent. S’approchant d’elle, ils remarquent son intensité, sa pureté. Car elle rend témoignage à la vérité et à la justesse d`un jeune homme, un allemand des bords du Rhin qui a donné sa vie en résistant au mensonge et à la violence de son époque.
Karl Leisner, puisque c’est de lui qu’il s’agit, a discerné très tôt l’imposture du nazisme. Et plutôt que de céder à la mode du temps et aux intimidations, il a choisi de servir le Christ. Il a marché sur le chemin de la passion.
Ordonné prêtre dans le camp de Dachau par un évêque français déporté lui aussi, il a vécu dans sa chair la vérité de ce que savait déjà l’apôtre Paul : “C’est dans la faiblesse que je suis fort.” (2 Cor. 12,10)
Béatifié par le pape Jean-Paul Il, à Berlin, le 23 juin 1996, il est maintenant un exemple et un intercesseur pour tous les jeunes catholiques du monde.
Car si notre temps vit en paix, nous devons cependant, comme Karl Leisner, faire œuvre de discernement pour ne pas nous laisser intimider par les nouvelles idoles de notre monde : l’utilitarisme, la consommation, le nihilisme.
Merci à toutes les personnes qui ont réalisé cette belle invitation à méditer l’exemple de Karl Leisner !
C’est comme une petite lumière qui commence à briller au cours d’une nuit tragique, une nuit d’orage, pleine de bruit et de fureur. Au milieu des éclairs, personne ne la voit ; elle passe inaperçue. Mais elle continue de briller. Et lorsque les orages s’apaisent, sa clarté commence à intriguer celles et ceux qui l’aperçoivent. S’approchant d’elle, ils remarquent son intensité, sa pureté. Car elle rend témoignage à la vérité et à la justesse d`un jeune homme, un allemand des bords du Rhin qui a donné sa vie en résistant au mensonge et à la violence de son époque.
Karl Leisner, puisque c’est de lui qu’il s’agit, a discerné très tôt l’imposture du nazisme. Et plutôt que de céder à la mode du temps et aux intimidations, il a choisi de servir le Christ. Il a marché sur le chemin de la passion.
Ordonné prêtre dans le camp de Dachau par un évêque français déporté lui aussi, il a vécu dans sa chair la vérité de ce que savait déjà l’apôtre Paul : “C’est dans la faiblesse que je suis fort.” (2 Cor. 12,10)
Béatifié par le pape Jean-Paul Il, à Berlin, le 23 juin 1996, il est maintenant un exemple et un intercesseur pour tous les jeunes catholiques du monde.
Car si notre temps vit en paix, nous devons cependant, comme Karl Leisner, faire œuvre de discernement pour ne pas nous laisser intimider par les nouvelles idoles de notre monde : l’utilitarisme, la consommation, le nihilisme.
Merci à toutes les personnes qui ont réalisé cette belle invitation à méditer l’exemple de Karl Leisner !
Hippolyte Simon, Archevêque de Clermont