Le cardinal de l’aube
Le dernier volume des « Chroniques ». Dans l’effondrement général, une œuvre d’espérance, de combats et de fierté française.
Un roman fascinant !
Le dernier volume des « Chroniques ». Dans l’effondrement général, une œuvre d’espérance, de combats et de fierté française.
Un roman fascinant !
Divisée en deux par une chaîne de montagnes, la province française de Solvanie est occupée au sud par des djihadistes sans scrupules. Au nord en revanche, le tout jeune colonel de Beautrad, avec l’aide d’une poignée d’hommes décidés, maintient la présence de la France millénaire et honore son drapeau au milieu d’un monde écroulé. Âmes d’élite trempées pour tous les combats, ces hommes, liés par une amitié virile et profonde, se partagent l’immense tâche de la reconstruction matérielle, sociale et spirituelle.
De l’horreur d’un attentat au mystère d’une confession, de la foi d’un chef jusqu’à ses fragilités, le lecteur est plongé dans les arcanes d’un état-major en pleine mission de guerre, dans les multiples facettes d’une aventure où le damné côtoie le saint, le traître le héros, la fascination le désir, et où la femme couronne le tout de sa présence discrète et de son amour inconditionnel.
Construite avec tout ce que la société décadente du XXIe siècle rejette de beau, de bien et de vrai, cette fiction - qui ressemble à s’y méprendre à la réalité - conduit l’auteur à redonner à chacun sa dignité d’homme créé à l’image de Dieu. Illustrée d’exemples qui nous scandalisent depuis des années, elle offre aussi de pénétrantes réflexions, comme celles sur l’identité française ou sur l’art de la guerre contre-révolutionnaire, qui ravivent la fierté d’appartenir à un grand pays.
Troisième volet des « Chroniques de la forteresse du ciel », Le cardinal de l’aube est un livre de fureurs et de combats, de tendresse aussi. C’est surtout un livre d’espérance.