Contempler l'au-delà pour vivre pleinement l'ici-bas / Joël Guibert
Ref. LST5123

Contempler l’au-delà pour vivre pleinement l’ici-bas

Auteur(s) :Père Joël Guibert
« La mort concerne chacun de nous, elle concerne l’homme de tout temps et de tout lieu.
Devant ce mystère, inconsciemment peut-être, nous cherchons quelque chose qui nous invite à espérer, un signe qui nous apporte un réconfort, qui nous ouvre un horizon, qui offre encore un avenir. »
(Benoît XVI)
En stock
Livraison : 3 à 6 jours ouvrés
Exemplaires disponibles : 1
Description
Caractéristiques
Sommaire
En savoir plus
Description

« Le regard posé sur la vie éternelle n’a rien de morbide. Au contraire, l’on ressort vivifié d’une telle contemplation : seul l’au-delà permet de vivre pleinement l’ici-bas. »
La foi chrétienne affirme l’existence d’un jugement particulier, du purgatoire, de l’enfer, du ciel, du retour du Christ à la fin des temps et de la résurrection de la chair. Cet au-delà, trop souvent passé sous silence, donne cependant un sens très fort à notre existence terrestre : « Avec la grâce de Dieu, dans l’insignifiance du quotidien, nous préparons et construisons déjà, pour une part, ce qui sera notre vie éternelle. »
À travers ces lignes, l’auteur nous aide à prendre du recul par rapport à la doxa ambiante, oscillant entre ésotérisme et déni de la mort. Cette prise de conscience salutaire par rapport à notre destinée finale, si elle réveille nos peurs et nos appréhensions liées à la fin de vie, conduit ultimement à nous préparer paisiblement chaque jour à tomber dans les bras d’un Dieu d’amour.
Guidés par ce que les saints ont vu et vécu, nous approcherons l’immense joie de la résurrection, redécouvrant que le Christ nous a sauvés de la mort et de l’enfer. Touchés par les beautés de l’eschatologie chrétienne, nous saisirons l’urgence de l’annoncer à nos pays « en perte d’âme et en panne de vie éternelle ».

Sommaire
    Introduction
  1. Première partie¬ À la recherche de l’au-delà perdu
    1. Un glissement à propos de la croyance en l’au-delà
    2. Le désintérêt du monde actuel pour les choses du ciel
    3. Dans l’Église, silence embarrassé à propos des fins dernières
  2. Deuxième partie ¬ Accueillir notre sœur la mort
    1. Qu’est devenue la mort aujourd’hui ?
    2. Le refus de la mort est « mortel » !
    3. Dans le Christ ressuscité, l’impasse de la mort devient passage vers la vie
    4. Les « bienfaits » de méditer la mort
    5. Ars moriendi, ou l’art de se préparer à sa propre mort
  3. Troisième partie ¬ L’heure du jugement particulier
    1. Le jugement particulier, un scanner dans la lumière de Dieu
    2. Nous serons jugés dans la justice et la miséricorde
    3. Peut-on croire en même temps à la résurrection et à la réincarnation ?
    4. Parvenus dans l’au-delà, allons-nous ressusciter tout de suite et tout entier ?
  4. Quatrième partie ¬ Le purgatoire, antichambre de l’amour
    1. Le purgatoire est-il une invention de l’Église
    2. Pourquoi le purgatoire ?
    3. Que peuvent faire les âmes au purgatoire ?
    4. Au purgatoire, terribles peines et joies intenses
    5. Que peut-on faire pour les âmes du purgatoire ?
    6. Désirons aller au ciel directement sans passer par le purgatoire !
  5. Cinquième partie ¬ L’enfer éternel
    1. Le dogme de l’enfer chahuté
    2. L’Église enseigne-t-elle toujours le dogme de l’enfer ?
    3. Comment va-t-on en enfer ?
    4. Le péché contre l’Esprit
    5. Quelles sont les souffrances des damnés ?
    6. Les « bienfaits » d’une méditation de l’enfer
  6. Sixième partie ¬ Vivement le ciel !
    1. Au ciel, nous verrons Dieu
    2. Au ciel, nous aimerons enfin !
    3. Au ciel, nous serons dans la « béatitude »
    4. Bienfaits de méditer le ciel pour aujourd’hui
  7. Septième partie ¬ Jésus, le retour !
    1. Le retour du Christ
    2. Le jugement général
    3. La résurrection de la chair
    Conclusion
Caractéristiques
Référence
LST5123
Pagination
270
Dimensions
15 × 22
EAN
9782740320273
Poids (kg)
0.42
En savoir plus
Poser le regard sur la vie éternelle pour vivre pleinement le quotidien.