« À la lecture de ce document, à la fois dense et bref, apparaît en contraste le tragique de notre civilisation sécularisée qui, en altérant le sens du mot aimer, se condamne à l’autisme et à la violence, c’est-à-dire au refus de l’autre. La charité n’est pas une matière à option de la vie chrétienne. Elle est son coeur, comme son âme. Le coeur du Christ qui a tant aimé les hommes, comme nous le rappelle sainte Marguerite-Marie à Paray-le-Monial, nous convie au service de la charité fraternelle, afin de rendre amour pour amour en vue de l’avènement d’une civilisation de l’amour. Ainsi cette encyclique du Souverain Pontife précise-t-elle les contours et significations profondes de cette révolution de l’amour dont il parlait lors des dernières Journées mondiales de la jeunesse à Cologne, et dont notre monde a cruellement besoin. »
évêque de Fréjus-Toulon
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INTRODUCTION
- L’UNITÉ DE L’AMOUR DANS LA CRÉATION ¬ET DANS L’HISTOIRE DU SALUT
- Un problème de langage
- « Eros » et « Agapé » : différence et unité
- La nouveauté de la foi biblique
- Jésus Christ : l’amour incarné de Dieu
- Amour de Dieu et amour du prochain
- CARITAS L’EXERCICE DE L’AMOUR ¬DE LA PART DE L’ÉGLISE ¬EN TANT QUE COMMUNAUTÉ D’AMOUR
- La charité de l’Église comme manifestation de l’amour trinitaire
- La charité comme tâche de l’Église
- Justice et charité
- Les nombreuses structures de service caritatif dans le — contexte social actuel
- Le profil spécifique de l’activité caritative de l’Église
- Les responsables de l’action caritative de l’Église