Description
De la vérité qui rend libre…
Un gaz mortel infiltre nos fragilités, pulvérise notre intimité, menace l’essence même de notre humanité. Alors ? S’équiper d’un masque et se terrer ? Baisser la garde ? Courber l’échine ? Collaborer avec l’envahisseur ? A d’autres ! Une fois encore, Daniel-Ange se porte au créneau, alerte, accuse… et convoque l’Espérance
Exalter la sexualité, en désigner les dérives, c’est se risquer entre angélisme et complaisance. Les mots tuent. Le diviseur le sait, l’auteur aussi, passe outre, choisit la ligne de crête et défriche : voici donc le fruit d’un travail considérable documenté, amassé, médité, prié, en quelque soixante années de lectures, de rencontres, de confidences, de solitudes et de foules.
Six cent pages, près d’un millier de notes… Il fallait bien cela et tant pis s’il faut débrider pour mieux cautériser, débusquer le mal jusqu’en ses bas fonds pour mieux l’éradiquer, dénoncer un air du temps pollué de ces miasmes qui ont nom idéologie, intérêt, souillure, et que le ridicule aurait dû, parfois, suffire à purifier.
Et l’Espérance ?… Mais elle sourd de nos fragilités ! Mais elle fortifie notre intimité ! Mais elle guide notre humanité !
… A l’amour qui triomphe.