Enquête sur la dysphorie de genre
L’urgence de protéger l’enfant contre une monstrueuse idéologie, encouragée par de puissants lobbies.
L’urgence de protéger l’enfant contre une monstrueuse idéologie, encouragée par de puissants lobbies.
Très rares il y a quelques années, les cas d’enfants atteints de dysphorie de genre, c’est-à-dire qui s’identifient comme filles ou garçons en contradiction avec leur sexe anatomique, se sont récemment multipliés. Un puissant mouvement médiatique s’est enclenché qui non seulement regarde avec bienveillance leur désir de se faire reconnaître dans leur nouvelle « identité de genre » mais qui encourage de surcroît des actes médicaux de « réassignation sexuelle » précoces. Par-delà l’empathie que l’on peut ressentir pour leur souffrance très réelle, on est en droit de s’interroger : des mineurs sont-ils vraiment capables de prendre une telle décision, qui entraînera pour eux des conséquences lourdes et irréversibles (petite taille, stérilité, ostéoporose) ?
Pour répondre à cette question, Pauline Quillon a mené une enquête objective et d’une rare profondeur, se nourrissant notamment de l’analyse des discours militants et de l’évolution des pays où la « réassignation sexuelle » est pratiquée couramment. Avec rigueur et empathie, sans tomber dans la dénonciation systématique ou la complaisance facile, elle décrypte les tenants et aboutissants de ce phénomène étonnant, et fournit aux parents, aux médecins, et à tous les acteurs de l’éducation et de la protection de l’enfance, de précieux outils pour se forger un jugement éclairé.