En France, plus que jamais, le passé s’invite dans le débat d’idées, mais sur le mode polémique. Qu’il s’agisse de définir l’identité nationale ou de s’interroger sur la place de la religion dans l’espace public, que la controverse porte sur l’héritage de l’Occupation ou sur les séquelles de la décolonisation, qu’il soit question de la réforme des programmes d’histoire à l’école ou de la création d’une Maison de l’histoire de France, tout est matière à division. Mais la discussion est biaisée au départ, car les préjugés idéologiques, les tabous du moment et les intérêts partisans interfèrent dans le débat.
En dix chapitres, du Jésus de l’Histoire à la place de l’Islam dans notre histoire nationale, avec la même liberté de ton et la sûreté d’information qui avaient contribué à l’exceptionnel succès d’Historiquement correct,
Jean Sévillia sort des chemins balisés par le politiquement correct.
- Contre le prêt-à-penser historique
- Le Jésus de l’histoire et le Christ de la foi
- Ce que l’Occident médiéval doit aux Arabes, ce qu’il ne leur doit pas
- Galilée, l’Église et la science
- Colonisation : la France est-elle coupable ?
- Nous ne comprenons plus la Grande Guerre
- La Seconde Guerre mondiale au prisme de la Solution finale
- Le Vatican contre Hitler
- Chrétiens et Juifs à travers l’histoire
- Identité nationale, identités françaises
- La France et l’islam : une longue confrontation