Communion sur la langue, une pratique qui s’impose !
« Pour en finir avec un acte de rupture… » : Des pages, d’une brûlante colère, qui militent en faveur d’un retour au respect visible et à l’adoration digne de Jésus-Christ.
« Pour en finir avec un acte de rupture… » : Des pages, d’une brûlante colère, qui militent en faveur d’un retour au respect visible et à l’adoration digne de Jésus-Christ.
Après le Concile, contre la règle traditionnelle de l’Eglise, l’opposition de la quasi-totalité des Pères du Concile et les résultats d’une enquête auprès des évêques, un lobby progressiste a pu obtenir une procédure permettant la communion dans la main. Rapidement, l’exception est devenue la règle. Cette manière de recevoir la Communion, au nom d’un soi-disant retour aux sources, a provoqué une perte du sens de l’Eucharistie.
Sans la Foi et une adoration intérieure et extérieure, « en esprit et en vérité » (Jn 4,24), la réception du Corps du Seigneur est une offense faite à Dieu, comme le soulignent saint Paul et saint Augustin.
L’Incarnation du Seigneur et son abaissement infini connaissent leur achèvement dans le mystère de l’Eucharistie. La Communion reçue à genoux et sur la langue permet de communier, en quelque sorte, à cet abaissement.
Au milieu d’une société multi-religieuse, la manière traditionnelle de communier est plus que jamais d’actualité. Signe fort de la Foi catholique, elle contribue à dissuader toute personne qui lui est étrangère de recevoir indûment le Corps du Seigneur.
Voici donc un vibrant plaidoyer pour la communion sur la langue. L’auteur appelle non seulement à sa pratique personnelle, mais à la favoriser et à militer pour elle. Il y va de la Foi de l’Eglise dans l’Eucharistie ! Il y va de son témoignage et de son renouveau !