La maison de Matriona
Merveilleux récits qui, de la réalité amère de l’existence quotidienne en Russie, nous conduisent à l’âme du pays où finalement l’humble et le juste transmettent l’image de la vraie beauté !
Merveilleux récits qui, de la réalité amère de l’existence quotidienne en Russie, nous conduisent à l’âme du pays où finalement l’humble et le juste transmettent l’image de la vraie beauté !
La traduction de ce chef-d'œuvre est venue révéler en 1966 aux lecteurs français un autre territoire du continent Soljénitsyne. On y découvre l'attachement viscéral de l'auteur aux racines les plus profondes de l'âme de son grand pays à travers la simple histoire de Matriona, femme « humble et juste » dans l'isba de laquelle le narrateur — un instituteur à peine sorti d'un camp, avec qui l'auteur semble se confondre — trouve le refuge auquel il aspirait. Dans cette campagne, certes collectivisée, prolétarisée, survit encore l'esprit de la paysannerie. On a pu dire de ce livre qu'il avait été écrit pour l'éternité et il est vrai que dans ces quelques pages, la force évocatrice de Soljenitsyne atteint une incomparable intensité.
Préface
— La maison de Matriona
— L'inconnu de Krétchétovka
— Pour le bien de la cause