LEA5315
Ref. LEA5315

Le Prince Eric


Auteur(s) :Serge Dalens
Collection :La saga du Prince Éric
Illustrateur(s) :Pierre Joubert

    [...] Jef, toujours immobile, regardait Éric, plus blanc qu’un perce-neige. Ses mains tremblaient. Mais il n’avait pas bougé de sa chaise...
À partir de 12 ans.

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Description
    « Malheur à la ville dont le prince est un enfant ! » dit l’Écriture. Et le prince de Swedenborg n’a pas quinze ans... Seul ou presque, entouré d’ambitieux, de traîtres, d’espions et de lâches, Éric conservera-t-il la couronne que veut lui ravir son Premier ministre ? Jef le page préféré, Christian l’ami français, Yngve l’enfant mystérieux, et les autres garçons qu’Éric connut au temps du Bracelet, parviendront-ils à
l’arracher du piège où un conseiller félon l’a fait tomber ?

    Le tome 2 de La Saga du Prince Éric voit le triomphe du courage et de l'amitié sur fond d'enquête en Norvège : il met en scène de nouveaux personnages et rapporte le sacrifice d'Yngve. Un chef-d'œuvre de la littérature jeunesse.






Caractéristiques
Référence
LEA5315
Pagination
207
Dimensions
13,5 × 20,5
EAN
9782383860716
Poids (kg)
0.3
Sommaire

Qui n’est ni une préface, ni un avant propos, mais sur lequel il est néanmoins préférable de jeter un rapide coup d'œil
Ici s’achève l’histoire du Bracelet de vermeil ici commence celle du Prince Éric

1. Dans lequel Éric manifeste, malgré les craintes de Jef et l’opposition du comte Tadek, un goût marqué pour le gouvernement personnel. Ce qui en résulte

2. Dans lequel la patrouille du Loup voit ses projets subitement modifiés et prolonge son séjour en Allemagne

3. Dans lequel on retrouve Éric sans le retrouver, et fait la connaissance de Jef sans la parfaire

4. Qui ne saurait être intitulé que « La cicatrice », et dans lequel les lecteurs du Bracelet de vermeil feront utilement appel à leurs souvenirs

5. Dans lequel le lecteur reçoit enfin les explications nécessaires à l’intelligence des événements et se trouve à même d’apprécier les mille et une qualités de Jef

6. Suite du précédent

7. Lequel est sans contredit le plus bref des treize et n’apporte à l’ensemble du récit qu’un supplément de clarté strictement limité

8. Où l’on voit les conseillers s’entretenir successivement avec Ralfsen, le médecin et Yngve, les Loups avec Jef et leur ambassadeur

9. Que chacun baptisera comme il l’entendra, l’auteur n’ayant pu trouver de titre à sa convenance

10. Dans lequel, ayant cueilli les fleurs de l’espérance, Éric en fait un joli bouquet, les Loups goûtent au vin de la victoire, et le lecteur se souvient que la roche Tarpéienne est près du Capitole

11. Dans lequel Yngve s’embarque pour un très long voyage

12. Que les mères de famille ne liront peut-être pas sans une secrète appréhension

13. Qu’il me plairait d’intituler « Éric le Magnifique », et qui sera le dernier du récit

Qui n'est ni un fin, ni une conclusion, et se termine par une promesse de l'auteur au lecteur

Postface

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    Serge Dalens, de son vrai nom Yves de Verdilhac. À l'âge de 23 ans, en duo avec son ami Pierre Joubert, il imagine, en une nuit, l'argument hugolien d'un roman étrange au suspense haletant : la légende du Prince Eric est née. Les quatre premiers tomes parurent ainsi entre 1937 et 1947 aux Éditions Alsatia. Serge Dalens compléta la série de deux tomes, en 1984 et 1992. Chaque ouvrage fut un best-seller.


    Pierre Joubert publia ses premiers dessins en 1927 dans la revue Scout de France. Compagnon de la première heure de Serge Dalens, l'illustrateur devint indissociable de la saga du Prince Eric : il réalisa les dessins de la première édition du Bracelet de vermeil au cours de son service militaire, dans la seule salle suffisamment éclairée de la caserne. Si ses illustrations se sont enrichies au fur et à mesure des différentes éditions, son dessin au trait dynamique et très expressif incarne à merveille l'idéal de jeunesse et d'énergie porté par le texte de Dalens.