Mémoricide / Phillippe de Villiers
Ref. LHF5205

Mémoricide


Porte-parole de millier de français, Philippe de Villiers retrace tout le destin tragique de la France d'aujourd'hui.
Grand amoureux de la France et de tout son héritage, il lance à travers ces pages un vibrant appel à l’espérance.

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Description

    « Alors que j’achevais la rédaction de ce livre, la cérémonie d’ouverture des Jeux olympiques est venue raviver le feu de ma plume : la France est la victime d’un mémoricide. Une ablation de sa mémoire. Une spoliation, une péremption de ses souvenirs. L’Esprit français a été immolé.
    Toute ma vie, je me suis battu. Contre un progressisme en quête incessante des figures nouvelles de l’insolite et du fantasque. Mais surtout pour renouer le fil avec sa mémoire commune qui nous a façonnés, en chérissant les trésors du patrimoine envié par le monde entier, et pour rappeler le pacte vingt fois séculaire entre la grandeur de la France et la liberté du monde.
    Ce combat je le mènerai jusqu’à mon dernier souffle et je sais que d’autres le mèneront après moi.
    Même s’ils sont hélas destinés à devenir minoritaires, il restera toujours des réfractaires. Je voudrais leur dire de ne pas perdre espoir, c’est d’eux seuls que la France peut renaître. »

Avec une verve sans pareille et dans une plainte mêlée de nostalgie, Philippe de Villiers dresse un constat accablant de l'état de la France. Il évoque ses souvenirs d'enfance, de créateur du Puy du Fou et livre des confidences sur l'homme politique qu'il a été. Philippe de Villiers se refuse à abandonner toute espérance, et son amour de la France éternelle demeure plus vivant que jamais.

Sommaire

LE TROU NOIR

    La bascule
    Chronique du mémoricide

I. LA MÉMOIRE PÉNITENTIELLE

    Je ne reconnais pas ma France
    L'alchimiste a plombé son mandat

    Il n'y a plus d'espace commun

    Ceux qui ont aboli les frontières ont du sang sur les mains

    L'hospitalitas, l'accueil de l'Autre

    La populophobie

    La journée ordinaire du « citoyen décarboné »

    les signaux faibles de partition naissante

    La grande infiltration

    « Le danger c'est Gros Lardon »

    Les œuvres vives sont en péril

    La politique n'attire plus les élites

    Mon Science Po à moi est mort

    L'école des petits dhimmis

    Les historiens sont devenus des médecins légistes

II. LA MÉMOIRE INVERTIE

    La droiche court après la gauche

    La « masculinité toxique » ?

    Vers la narco-citoyenneté

    Le serment d'Hippocrate aura duré vingt-cinq siècles

    Le progressisme mortifère

    « On peut naître dans le mauvais corps »

    La corruption a détruit nos campagnes

    Le sens du travail s'est perdu

    Le déclin du courage

    « Démosthène, réveille-toi et apprend-leur à parler »

    La République des juges

    Le laïcisme du vide

    L'homme délié

    Le président de l'ONG Cathos sans frontières vous parle

    Le grand mensonge

    Ce que je vous livre là est de la nitroglycérine

    Comment j'ai inventé le mot « souverainisme »

    L'Europe est-elle sortie de l'histoire ?

    Les trois pièges de Thucydide

III. LA MÉMOIRE SALVATRICE

    L'étoile du « tout est perdu ? tout est sauf » à Bethléem

    Le premier « tout est sauf » inattendue de l'histoire de France

    Paris perdu ? Paris sauvé

    Perdu dans les brumes à Bouvines, sauvé par le soleil

    La pierre qui tient la lumière, la lumière qui tient la pierre

    Notre-Dame est perdue ? Notre-Dame est sauvée

    L'anneau perdu ? L'anneau retrouvé

    Il faut que l'auteur meure pour que l'œuvre demeure

    Le soleil et la mort se regardent fixement

    Le glas qui sonne est celui de la culture populaire

    Le béret allégorique est sauf

    La France occupée, la France libérée

    « Ne pas subir »

    Tout est perdu, fors l'honneur

    « Le plus grand stade du monde »

    « Sa vie pour la mienne »

    « Tuer l'instant pour écouter la mémoire longue »

    « Souviens-toi du col de l'Envalira »

    Il faut que meure le raisin pour que demeure le millésime

    « Le déhanché du lapin breton »

    Retirés du monde pour psalmodier l'aube à venir

    L'Arbre sec qui refleurit

Conclusion


Caractéristiques
Référence
LHF5205
Pagination
380
Dimensions
15 x 23,5
EAN
9782213731087
Poids (kg)
0.61
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